• Carte des Tirailleurs inhumés à Lyon

     

     

    https://drive.google.com/open?id=1t5Sowhw9loTSlJAPnhYgGhsSIxo&usp=sharing

     


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  • Deux historiens, Antoine Prost et Arndt Weinrich,
    donnent leur avis sur la cérémonie :

    http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/centenaire-verdun-un-historien-surpris-polemique-1374619

    L'émission en intégralité :

    L'Info dans le rétro - 14-18 : Une guerre deux mémoires

     

    „Über Verdun wusste ich nicht viel.
    Aber als er von meiner Reise erfuhr, hat mir mein Vater das Eiserne Kreuz meines Ururgroßvaters gezeigt, das er geerbt hat“, sagt Charlotte.
    Sie findet, dass noch immer viel mehr über den Zweiten Weltkrieg als über den Ersten im Geschichtsunterricht gesprochen wird. (...)
    „Aber jetzt interessieren wir uns auch wieder mehr für den Ersten Weltkrieg“,
    sagt Emma-Louise.
    Die beiden Mädchen wirkten auch an der Choreographie mit,
    die der deutsche Regisseur Völker Schlöndorff
    mit den 3500 Jugendlichen für die Gedenkfeier vorbereitet hat.
    „Das Wichtigste ist eigentlich, dass man die Zeremonie Politikern und Militärs wegnimmt und den Jugendlichen gibt“, sagte Schlöndorff."

    Michaela Wiegel, Frankfurter Allgemeine Zeitung, 29 mai 2016

    "...dimanche 29 mai,
    le spectacle de ces adolescents pleins de vie,
    là même où ont péri, il y a un siècle,
    300 000 soldats à peine plus âgés qu’eux,
    était sans doute le plus beau symbole que l’on pouvait imaginer
    pour figurer l’acquis le plus essentiel de la construction européenne depuis 1945 :
    la paix entre la France et l’Allemagne."

    Le Monde, mardi 31 mai 2016, p. 4

     
    Ils ont surgi de partout, en courant, depuis la forêt.
    Comme s’ils montaient au front.
    Avant de déferler sur la nécropole de Douaumont
    au rythme effréné et stressant des tambours du Bronx.
    Près de 3 500 jeunes, Français et Allemands,
    cavalant entre les 16 000 croix blanches,
    l’image est saisissante.
    Comme celle des combats au corps à corps, chorégraphiés, qui suivent.
    Un coup de feu y met fin, tiré par une grande faucheuse perchée sur échasse.
    Les milliers de jeunes s’effondrent au ralenti.
    Tous couchés sur l’herbe verte de Douaumont.
    Le silence qui suit fait froid dans le dos.
    Jusqu’à ce qu’un premier se relève.
    Puis deux, trois, quatre…
    et les 3 500 autres comme un seul homme,
    aux cris de
    « Nous sommes là, wir sind da. On reste ! »

    Le Républicain Lorrain, lundi 30 mai 2016, p. 2


    "Roulement de tambour. Des berlines filent au loin.
    Hollande et Merkel s’avancent, s’arrêtent solennellement devant les drapeaux.
    Les hymnes français et allemands sont joués.
    Une haie de smartphones se dresse.
    Un bruit sourd retentit, un grondement.
    Des jeunes aux Tee-shirts colorés accourent, inondent la nécropole.
    On suit sur écran géant la scénographie du cinéaste Volker Schlöndorff.
    Le soleil ferait presque une apparition.
    Au son de percussions métalliques, la jeunesse fait mine de s’affronter,
    forme des colonnes, chute.
    Les corps gisent immobiles sur cette terre gorgée du sang de leurs aînés.
    Puis ils se relèvent, pour crier à l’unisson qu’ils sont jeunes, qu’ils resteront. Puissant. "

    Libération.fr, lundi 30 mai 2016

    "Que retiendra-t-on de la cérémonie de Douaumont,
    celle qui commémore les 100 ans de la bataille de Verdun ?
    François Hollande et Angela Merkel entrant ensemble dans l'Ossuaire,
    ravivant la flamme du souvenir d'une même main ?
    Indubitablement (...)
    Retiendra-t-on aussi la chorégraphie interprétée
    par les 3400 jeunes Français et Allemands dans la nécropole nationale ?
    Sans nul doute.
    Cette course au combat, à la mort.
    Mais une course finalement à la vie.
    Cérémonie vivante que celle qui s'est déroulée sous les yeux des invités.
    Cérémonie tournée vers la jeunesse, vers l'avenir."

    L'Est Républicain, lundi 30 mai 2016

    " Non, les jeunes n’ont pas manqué de respect aux tombes de Verdun(...)
    Présent à Douaumont dimanche 29 mai pour le centenaire de la bataille de Verdun,
    je suis de ceux qui sont profondément émus par la cérémonie, aussi un peu interpellés par le début de la mise en scène du réalisateur Volker Schlöndorff.
    Cependant, le travail pédagogique fait avec ces jeunes
    m’interdit de parler d’indécence.
    Non, ils n’ont pas piétiné des tombes, ils ont fait tout le contraire,
    ils ont inscrit par une expression artistique leur volonté de perpétuer un hommage.
    Ils ont auparavant cherché, appris, appréhendé la réalité de ces lieux.
    Plutôt que la « course » dans la nécropole,
    je retiens cette fin de cérémonie poignante avec les étoiles de l’Europe
    et les jeunes devant les tombes regardant face à l’ossuaire."

    Thibaud Poirot, Le Monde, 1er juin 2016, p. 20

     


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  • "Roulement de tambour. Des berlines filent au loin. Hollande et Merkel s’avancent, s’arrêtent solennellement devant les drapeaux. Les hymnes français et allemands sont joués. Une haie de smartphones se dresse. Un bruit sourd retentit, un grondement. Des jeunes aux Tee-shirts colorés accourent, innondent la nécropole. On suit sur écran géant la scénographie du cinéaste Volker Schlöndorff. Le soleil ferait presque une apparition.
    Au son de percussions métalliques, la jeunesse fait mine de s’affronter, forme des colonnes, chute. Les corps gisent immobiles sur cette terre gorgée du sang de leurs aînés. Puis ils se relèvent, pour crier à l’unisson qu’ils sont jeunes, qu’ils resteront. Puissant. "

    Extrait de Libération.fr

     Départ à 10 h

    Retour au collège à 19h !


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  • Quelle journée mémorable !

     

     

    Lever à 5h45
    Départ sous la pluie pour la répétition générale

    Dimanche 29 mai

     Puis, après quelques heures d'attente,
    arrive le moment de la cérémonie.

    Dimanche 29 mai

    Dimanche 29 mai

    Dimanche 29 mai

     


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  • Matinée: ateliers géographiques franco-allemands

    Jour 3 / samedi 28/05

     

    Puis visite de la ville de Verdun

    Jour 3 / samedi 28/05

     

    Grand jeu sur l'Est républicain

    Où est Angèle ?

    Jour 3 / samedi 28/05

     

    Après midi pluvieux. Visite du fort de Douaumont

    Jour 3 / samedi 28/05

    Jour 3 / samedi 28/05

     


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  • Courte nuit de 1h à 5h30 environ !

    Activités franco-allemandes avec les correspondants : ateliers historiques et culturelles.

    Beaucoup de sérieux 

    Vendredi 27 mai

     

    Après midi entièrement consacrée à la répétition devant l'ossuaire de Douaupont

    Sous la ddirection de Völker Schlöndorff.

    Photos interdites. A voir dimanche après midi sur France 2

     


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  •  8h - départ du 

    collège

    jeudi 26 mai

     

    Arrivés

    jeudi 26 mai

     

    jeudi 26 mai

     

    jeudi 26 mai

     

    Au lit..

    jeudi 26 mai

    jeudi 26 mai

    jeudi 26 mai

     

    Superbe première journée, déjà très riche

    Elèves motivés

    Repos bien mérité

     


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  • Mémoire familiale / Cécile Mémoire familiale / Cécile

    Analyse de la photographie :

    C’est une photographie en noir et blanc de 9cm par 13,8cm. On y voit trois hommes, trois soldats en uniforme. Celui du milieu est mon aïeul, il s’appelait Jean-Baptiste Mangin.
    La photo a servi de carte postale pour donner des nouvelles à sa femme. Il n’est pas mort aux combats mais par la suite à cause des gaz moutardes.
    Il a envoyé cette lettre quand il était au combat dans le nord de la France. Je l'ai retrouvée dans de vieilles affaires qui appartenaient à de mon arrière grand-mère.

    Analyse du texte :

    Ce texte est une lettre de Mangin écrite à sa femme. L’écriture est difficile à déchiffrer mais elle est écrite en calligraphie et est très belle. Il parle de sa vie au combat et de ses amis. Il dit que tout va bien et qu’il espère la revoir bientôt. Le texte était au dos de la photo où l'on peut le voir avec deux autres soldats.

    Quand il dit : "Je me porte assez bien" il n'ose pas décrire la vie, probablement très difficile qui était celle des soldats.

    D'autres extraits de la lettre :
    "Je fais réponse à ton courrier qui m'a fait grand plaisir"
    "Aujourd'hui je t'envoie ma gueule et j’espère que tu vas me reconnaître." (référence à la photo et à la distance qui les éloigne)

    Cécile et Camille


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  • Mémoire familiale / Khadyia

    Voici la fiche militaire d’un soldat sénégalais du nom de famille de KA ce qui est le nom de famille de mon père. Il a combattu dans le 54ème régiment d’infanterie colonial.
    Cette personne est mon arrière-arrière-grand-père.

    Sur ce document, on peut voir qu'il est né le 6 octobre 1881 à St-Louis du Sénégal.
    Il est noté comme disparu le 28 octobre 1916 à Kénali en Serbie.

    Je trouve cela émouvant de retrouver mon nom de famille dans des archives et de savoir qu’un des mien a participé à la Première Guerre mondiale.

    Mémoire familiale / Khadyia

    Voici la fiche militaire d’un autre tirailleur sénégalais, celui-ci porte le nom de famille de ma mère, DEME, peut-être est-ce un de mes aïeul.

    Il était né en 1883 à Dakar. Celui-ci aussi a combattu et est mort en Serbie mais il appartenait 38
    ème
    régiment d’infanterie coloniale.

    Cette personne est surement un membre de ma famille et peut-être même un autre arrière- arrière-grand-père !

    Khadyia


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